J’avoue que ce livre je l’ai acheté principalement grâce à sa couverture que j’adore. Et puis il y aussi le concept, un peu, qui m’a semblé original : un roman dont le lecteur est le héro, avouez que c’est pas courant. Mais cette forme de roman à choix multiples n’est-elle pas au détriment de l’histoire ? Réponse avec mon avis sur Self control, de Thomas Gayet et Paul Bianchi.
Résumé de l’éditeur
Traqué par toutes les polices, un serial killer frappe au hasard. Saurez-vous garder votre self control ? Car dans ce roman, l’assassin c’est vous.
À quelques semaines de passer son diplôme de contrôleur aérien, Julien Antoine tue une femme. C’est le début d’une longue série de choix à faire…
Des quartiers cossus de Tokyo aux cartels de México en passant par la France ou Hollywood, Self Control vous plonge dans le cerveau d’un tueur en série avec lequel vous ne faites plus qu’un. Allez-vous tomber sur plus fort que vous ?
Mon avis
Je vais être brève parce que franchement j’ai pas trop apprécié cette lecture. Certes le format est original, mais honnêtement l’histoire n’est pas terrible et le ton du personnage principal – donc nous – ne m’a pas plu.
Thomas Gayet travaille pour Topito, un site dont j’aime l’humour. Mais là dans ce livre, j’ai pas aimé l’écriture, le ton sarcastique du personnage,… Pour moi, ce n’est ni un thriller, ni un livre noir, ni un polar. L’intérêt du livre réside uniquement dans la forme : selon la suite de l’histoire que vous choisissez, vous êtes renvoyé à un autre chapitre, et ainsi de suite. Le lecteur est acteur de sa lecture.
Et ça s’arrête là. Donc vraiment pas terrible comme livre, dommage.
En un mot
Le concept est sympa, mais l’histoire en elle-même n’a franchement rien d’intéressant. Pour la petite anecdote, je suis morte dévorée par un ours. J’avais choisi une autre fin, mais ça me faisait terminer l’histoire en quelques minutes de lecture seulement. Donc je suis retournée en arrière pour choisir une autre fin.
La Papivore 
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