Blackwater V : la Fortune – Michael McDOWELL

Je ne vais pas faire de longue introduction, c’est déjà la cinquième chronique que je fais sur la saga Blackwater.

Voici mon avis sur Blackwater 5 : la Fortune, de Michael McDowell.

Résumé de l’éditeur

Le clan Caskey se développe et se transforme. Certaines branches font face à la mort, d’autres ­accueillent la vie. Entre rapprochements inattendus, haines sourdes et séparations inévitables, les relations évoluent. ­Miriam, ­désormais à la tête de la scierie et noyau dur de la famille, continue à faire grandir la richesse. Suite à une découverte surprenante et miraculeuse – excepté pour une personne –, c’est la ville entière qui va bientôt prospérer. Mais la soudaine fortune suffira-t-elle alors que la nature commence à ­réclamer son dû ?

Mon avis

Je vais aller vite : c’est toujours aussi bon, aussi génial. il se passe énormément de choses ici.

Miriam prend énormément d’importance dans la famille, famille qui s’enrichit comme jamais. Malgré le fait qu’elle est arrogante, vénale, matérialiste, franche, j’aime beaucoup le personnage de Miriam.

Dans ce tome, la famille Caskey devient immensément riche grâce au pétrole trouvé sur les terrains qu’Elinor avait voulu acheter sans raison apparente à l’époque. Décidément, cette Elinor est très surprenante. Aussi surprenante que sa fille Frances qui lui ressemble énormément, et qui donne naissance à deux bébés, une fille et un autre être mystérieux.

Je n’en dis pas plus, mais à l’heure où j’écris la chronique, j’ai terminé la saga, et je me sens presque vide depuis. Mes lectures depuis la fin de Blackwater, sont sans saveur, et je pense que jamais je ne retrouverai le même engouement que pour ces six livres aussi magnifiques à l’intérieur qu’à l’extérieur. Ils sont affichés dans ma bibliothèque comme des objets de collection, et j’aime regarder les effets du soleil sur leurs couvertures à différents moments de la journée.

Bref, vous l’avez compris, c’est d’la balle.

En un mot

I’m in love.