
Encore une fois j’arrive longtemps après la bataille… Je découvre enfin la nouvelle saga de Nicolas Beuglet, et son nouveau personnage féminin, Grace Campbell. Celui-ci est le premier tome, publié en 2020, le deuxième s’intitule Le passager sans visage, et est sorti en septembre 2021. Malgré ma relation un peu compliquée avec Nicolas Beuglet depuis Le Cri et Complot, j’ai voulu retenter le coup avec cette nouvelle saga.
Voici mon avis sur Le dernier message, de Nicolas Beuglet.
Résumé de l’éditeur
Voulez-vous vraiment connaître la vérité ? Le dernier message pourrait vous plonger dans des abysses d’angoisse et de folie…
Île d’Iona, à l’ouest de l’Ecosse. des plaines d’herbes brunes parsemées de roches noires. Et au bout du » Chemin des morts « , la silhouette grise du monastère.
Derrière ces murs suppliciés par le vent, un pensionnaire vient d’être retrouvé assassiné. Son corps mutilé de la plus étrange des façons. C’est l’inspectrice écossaise Grace Campbell qui est chargée de l’enquête. Après un an de mise à l’écart, elle joue sa carrière, elle le sait.
Sous une pluie battante, Grace pousse la lourde porte du monastère. Elle affronte les regards fuyants des cinq moines présents. De la victime, ils ne connaissent que le nom, Anton. Tous savent, en revanche, qu’il possédait un cabinet de travail secret aménagé dans les murs. Un cabinet constellé de formules savantes…
Que cherchait Anton ? Pourquoi l’avoir éliminé avec une telle sauvagerie ? Alors qu’elle tente encore de retrouver confiance en elle, Grace ignore que la résolution d’une des énigmes les plus vertigineuses de l’humanité repose tout entière sur ses épaules…
Mon avis
Il y a quelques années j’ai lu Le Cri puis Complot. Ce sont des romans intéressants mais il y avait quelque chose qui n’a pas éveillé en moi la petite étincelle, celle qui fait qu’on tombe amoureux de l’histoire, celle qui fait qu’on n’a pas envie de refermer le bouquin,…
Du coup je n’avais pas lu L’île au diable, par peur de ne pas accrocher, encore une fois. Mais comme il n’y a que les cons qui ne changent pas d’avis, j’ai voulu lire ce roman, histoire de voir…
Difficile d’évaluer ma lecture, difficile de donner un avis objectif. J’ai donc fait la connaissance de Grace Campbell, une flic écossaise qui a été mise au placard pour on-ne-sait quelle raison, qui a été apparemment en surpoids et dont l’apparence physique est un sujet touchy, et qui cache quelque chose de mystérieusement mystérieux derrière une porte blindée dans son appartement.
Voilà les bases sont posées. Elle doit ici enquêter sur la mort dégueulasse d’un membre d’un monastère, qui a été excérébré et qui faisait des études complexes d’astro-physique. On rajoute donc une couche sur la base.
Et en fait Nicolas Beuglet rajoute couche sur couche, jusqu’à un dénouement « what the fuck, qu’est-ce que c’est que ça ? » Ça partait pourtant bien, avec une histoire semblable au Nom de la Rose (le film… le livre, je l’ai mais je ne l’ai pas encore lu), des moines étranges, qui ont tous l’air suspect…
Vous l’aurez donc compris, je n’ai encore une fois pas adhéré à ce roman. Je suis peut-être trop terre-à-terre, trop basique, trop premier degré…
Ça ne peut pas marcher à tous les coups 😉
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