Je ne connaissais pas cet auteur. Mais la couverture du livre, ainsi que la 4ème m’ont tout de suite attirée. On retrouve les ingrédients d’un bon thriller : un hôpital psychiatrique, une victime dont on ignore l’identité, un symbole mystérieux gravé sur le front, et qui semble être mort de peur. Littéralement.
Avouez que ça en jette ?
C’est donc plein d’espoir et d’enthousiasme que j’ai commencé la lecture de ce livre. Et ça démarrait bien, même très bien… et puis patatra ! Le bon thriller s’est transformé en roman d’aventure genre Indiana Jones poursuivi par la CIA, en quête de l’existence de…. Ah je ne vais pas dévoiler l’objet de la quête, sinon ce serait du spoiler.
Je l’ai lu plutôt rapidement, mais j’avoue que j’ai été vraiment déçue. Pas par les talents d’écriture de Nicolas Beuglet, mais par la tournure de l’histoire. C’est vraiment dommage.
Ça reste néanmoins une bonne lecture, mais pas un bon thriller.
NOTE :
À quelques kilomètres d’Oslo, l’hôpital psychiatrique de Gaustad dresse sa masse sombre parmi les pins enneigés. Appelée sur place pour un suicide, l’inspectrice Sarah Geringën pressent d’emblée que rien ne concorde. Le patient 488, ainsi surnommé suivant les chiffres cicatrisés qu’il porte sur le front, s’est figé dans la mort, un cri muet aux lèvres – un cri de peur primale. Soumise à un compte à rebours implacable, Sarah va découvrir une vérité vertigineuse sur l’une des questions qui hante chacun d’entre nous : la vie après la mort…
NONNNNNN tu n’a pas aimé le CRI……
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Au début si, et puis je n’ai pas adhéré à la forme du roman.
Mais je souhaite lire le Complot pour laisser une chance à l’auteur 😉
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Oui lis le Complot tu as raison.
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